Jack Barron et l'éternité - Norman Spinrad

Publié le par GiZeus

Article déplacé à l'adresse suivante, merci de votre compréhension :

 

http://foudre-olympienne.blogspot.com/2011/07/jack-barron-et-leternite-norman-spinrad.html

Publié dans Science-fiction

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G
<br /> Ha ben tiens je suis en train de le lire celui-là !<br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> Bonne lecture alors !<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Souvent commencé et souvent arrêté mais je crois n'avoir pas dépassé les 50 premières pages.<br /> Je sais que c'est un livre à lire encore une critique qui me le confirme, la tienne me donne envie de m'y remettre !<br /> J'ai hâte de voir ce que va penser et dire sur Perdido...<br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> Si les deux ou trois premiers chapitres t'ont rebuté, y'a de fortes chances pour que la suite ne te convienne pas non plus. Quant à Perdido Street Station, je viens de finir la première partie<br /> (un peu moins de 100 pages je crois), et pour l'instant je ne suis pas transcendé. Une surabondance de descriptions, qui de surcroit ne m'enflamment pas tellement. C'est pas tellement<br /> désagréable, mais je verrai comment évolue l'histoire. Pour le moment Miéville prend son temps, c'est le moins que l'on puisse dire...<br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> Ma lecture de cette oeuvre remonte à pas mal d'années à présent, et je ne saurais trop te donner mon avis, mais il est clair que c'était une lecture étrange, une expérience comme j'en ai connu peu.<br /> J'ai tout de même le souvenir d'une critique des media assez incisive, même avec le recul, et d'une narration assez peu orthodoxe.<br /> <br /> Une oeuvre à connaître toutefois.<br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> L'impression de la narration peu orthodoxe doit certainement venir de l'écriture "psychédélique" de Spinrad, qui n'est pas la plus aisée à aborder, ou du fait de l'introspection très poussée,<br /> puisqu'à chaque fois, Spinrad nous fait partager les pensées des différents acteurs.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Quant à la critque des mass médias, je la trouve plus présente au départ qu'à la fin, puisqu'au final elle porte davantage sur la politique. Mais c'est quand même intéressant de constater la<br /> manipulation dont fait preuve Barron avec ses spectateurs, et l'image déformée qu'il donne de lui-même.<br /> <br /> <br /> <br />